Purple Botanical Illustrations and Poem
À partir de 31,00 €
Serie of 3 botanical illustrations framing a poem in french about nature. Hahnemühle Fine Art Print. Frame is not included.
--POEM--
- Donnez-moi -
Donnez-moi le ciel au dessus de ma tête, un horizon qui n’arrête pas mes yeux.
Donnez-moi la poussière à fouler, la morsure du soleil, l’ombre d’un arbre majestueux. Que puis-je vouloir de plus que de contempler les éclairs éblouissants déchirant un nuage bleuté. Le chant des oiseaux anéantis par la touffeur d’une fin d’été. Grimper à l’arbre pour y voler quelques prunes. Chercher sur l’eau le reflet de la lune. Ne m’enle- vez jamais ce souffle de liberté. Ni richesse, ni gloire ne sauraient l’éclipser.
Donnez-moi des êtres à aimer, peu importe qu’ils avancent sur deux ou quatre membres, dans les airs ou sur la terre pour peu qu’ils aiment m’entendre rire et chanter. Don- nez-moi le bonheur de les chérir avec mes mains, avec mon coeur, avec mes corvées. Que puis-je vouloir de plus qu’une table affamée, un souffle sur ma main, un regard
de confiance chèrement gagné. Ne m’enlevez jamais cette unité. Ni mondanité, ni gloire ne sauraient les éclipser.
Donnez-moi de l’espace pour mes rêves, un regard qui cherche à percer les mystères du savoir mais donnez-moi surtout un profond encrage à la terre. Que puis-je vouloir de plus que de voir la vie grandir et recommencer, chanter et se taire. Quelque part au-delà, il doit y avoir une conti- nuité dans l’univers. La terre a tout dit, tout essayé, lais- sez-moi simplement l’écouter. Ni professeur, ni université ne sauraient l’éclipser.
Salomé Malou
--POEM--
- Donnez-moi -
Donnez-moi le ciel au dessus de ma tête, un horizon qui n’arrête pas mes yeux.
Donnez-moi la poussière à fouler, la morsure du soleil, l’ombre d’un arbre majestueux. Que puis-je vouloir de plus que de contempler les éclairs éblouissants déchirant un nuage bleuté. Le chant des oiseaux anéantis par la touffeur d’une fin d’été. Grimper à l’arbre pour y voler quelques prunes. Chercher sur l’eau le reflet de la lune. Ne m’enle- vez jamais ce souffle de liberté. Ni richesse, ni gloire ne sauraient l’éclipser.
Donnez-moi des êtres à aimer, peu importe qu’ils avancent sur deux ou quatre membres, dans les airs ou sur la terre pour peu qu’ils aiment m’entendre rire et chanter. Don- nez-moi le bonheur de les chérir avec mes mains, avec mon coeur, avec mes corvées. Que puis-je vouloir de plus qu’une table affamée, un souffle sur ma main, un regard
de confiance chèrement gagné. Ne m’enlevez jamais cette unité. Ni mondanité, ni gloire ne sauraient les éclipser.
Donnez-moi de l’espace pour mes rêves, un regard qui cherche à percer les mystères du savoir mais donnez-moi surtout un profond encrage à la terre. Que puis-je vouloir de plus que de voir la vie grandir et recommencer, chanter et se taire. Quelque part au-delà, il doit y avoir une conti- nuité dans l’univers. La terre a tout dit, tout essayé, lais- sez-moi simplement l’écouter. Ni professeur, ni université ne sauraient l’éclipser.
Salomé Malou
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Serie of 3 botanical illustrations framing a poem in french about nature. Hahnemühle Fine Art Print. Frame is not included.
--POEM--
- Donnez-moi -
Donnez-moi le ciel au dessus de ma tête, un horizon qui n’arrête pas mes yeux.
Donnez-moi la poussière à fouler, la morsure du soleil, l’ombre d’un arbre majestueux. Que puis-je vouloir de plus que de contempler les éclairs éblouissants déchirant un nuage bleuté. Le chant des oiseaux anéantis par la touffeur d’une fin d’été. Grimper à l’arbre pour y voler quelques prunes. Chercher sur l’eau le reflet de la lune. Ne m’enle- vez jamais ce souffle de liberté. Ni richesse, ni gloire ne sauraient l’éclipser.
Donnez-moi des êtres à aimer, peu importe qu’ils avancent sur deux ou quatre membres, dans les airs ou sur la terre pour peu qu’ils aiment m’entendre rire et chanter. Don- nez-moi le bonheur de les chérir avec mes mains, avec mon coeur, avec mes corvées. Que puis-je vouloir de plus qu’une table affamée, un souffle sur ma main, un regard
de confiance chèrement gagné. Ne m’enlevez jamais cette unité. Ni mondanité, ni gloire ne sauraient les éclipser.
Donnez-moi de l’espace pour mes rêves, un regard qui cherche à percer les mystères du savoir mais donnez-moi surtout un profond encrage à la terre. Que puis-je vouloir de plus que de voir la vie grandir et recommencer, chanter et se taire. Quelque part au-delà, il doit y avoir une conti- nuité dans l’univers. La terre a tout dit, tout essayé, lais- sez-moi simplement l’écouter. Ni professeur, ni université ne sauraient l’éclipser.
Salomé Malou
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- Donnez-moi -
Donnez-moi le ciel au dessus de ma tête, un horizon qui n’arrête pas mes yeux.
Donnez-moi la poussière à fouler, la morsure du soleil, l’ombre d’un arbre majestueux. Que puis-je vouloir de plus que de contempler les éclairs éblouissants déchirant un nuage bleuté. Le chant des oiseaux anéantis par la touffeur d’une fin d’été. Grimper à l’arbre pour y voler quelques prunes. Chercher sur l’eau le reflet de la lune. Ne m’enle- vez jamais ce souffle de liberté. Ni richesse, ni gloire ne sauraient l’éclipser.
Donnez-moi des êtres à aimer, peu importe qu’ils avancent sur deux ou quatre membres, dans les airs ou sur la terre pour peu qu’ils aiment m’entendre rire et chanter. Don- nez-moi le bonheur de les chérir avec mes mains, avec mon coeur, avec mes corvées. Que puis-je vouloir de plus qu’une table affamée, un souffle sur ma main, un regard
de confiance chèrement gagné. Ne m’enlevez jamais cette unité. Ni mondanité, ni gloire ne sauraient les éclipser.
Donnez-moi de l’espace pour mes rêves, un regard qui cherche à percer les mystères du savoir mais donnez-moi surtout un profond encrage à la terre. Que puis-je vouloir de plus que de voir la vie grandir et recommencer, chanter et se taire. Quelque part au-delà, il doit y avoir une conti- nuité dans l’univers. La terre a tout dit, tout essayé, lais- sez-moi simplement l’écouter. Ni professeur, ni université ne sauraient l’éclipser.
Salomé Malou
Serie of 3 botanical illustrations framing a poem in french about nature. Hahnemühle Fine Art Print. Frame is not included.
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- Donnez-moi -
Donnez-moi le ciel au dessus de ma tête, un horizon qui n’arrête pas mes yeux.
Donnez-moi la poussière à fouler, la morsure du soleil, l’ombre d’un arbre majestueux. Que puis-je vouloir de plus que de contempler les éclairs éblouissants déchirant un nuage bleuté. Le chant des oiseaux anéantis par la touffeur d’une fin d’été. Grimper à l’arbre pour y voler quelques prunes. Chercher sur l’eau le reflet de la lune. Ne m’enle- vez jamais ce souffle de liberté. Ni richesse, ni gloire ne sauraient l’éclipser.
Donnez-moi des êtres à aimer, peu importe qu’ils avancent sur deux ou quatre membres, dans les airs ou sur la terre pour peu qu’ils aiment m’entendre rire et chanter. Don- nez-moi le bonheur de les chérir avec mes mains, avec mon coeur, avec mes corvées. Que puis-je vouloir de plus qu’une table affamée, un souffle sur ma main, un regard
de confiance chèrement gagné. Ne m’enlevez jamais cette unité. Ni mondanité, ni gloire ne sauraient les éclipser.
Donnez-moi de l’espace pour mes rêves, un regard qui cherche à percer les mystères du savoir mais donnez-moi surtout un profond encrage à la terre. Que puis-je vouloir de plus que de voir la vie grandir et recommencer, chanter et se taire. Quelque part au-delà, il doit y avoir une conti- nuité dans l’univers. La terre a tout dit, tout essayé, lais- sez-moi simplement l’écouter. Ni professeur, ni université ne sauraient l’éclipser.
Salomé Malou
--POEM--
- Donnez-moi -
Donnez-moi le ciel au dessus de ma tête, un horizon qui n’arrête pas mes yeux.
Donnez-moi la poussière à fouler, la morsure du soleil, l’ombre d’un arbre majestueux. Que puis-je vouloir de plus que de contempler les éclairs éblouissants déchirant un nuage bleuté. Le chant des oiseaux anéantis par la touffeur d’une fin d’été. Grimper à l’arbre pour y voler quelques prunes. Chercher sur l’eau le reflet de la lune. Ne m’enle- vez jamais ce souffle de liberté. Ni richesse, ni gloire ne sauraient l’éclipser.
Donnez-moi des êtres à aimer, peu importe qu’ils avancent sur deux ou quatre membres, dans les airs ou sur la terre pour peu qu’ils aiment m’entendre rire et chanter. Don- nez-moi le bonheur de les chérir avec mes mains, avec mon coeur, avec mes corvées. Que puis-je vouloir de plus qu’une table affamée, un souffle sur ma main, un regard
de confiance chèrement gagné. Ne m’enlevez jamais cette unité. Ni mondanité, ni gloire ne sauraient les éclipser.
Donnez-moi de l’espace pour mes rêves, un regard qui cherche à percer les mystères du savoir mais donnez-moi surtout un profond encrage à la terre. Que puis-je vouloir de plus que de voir la vie grandir et recommencer, chanter et se taire. Quelque part au-delà, il doit y avoir une conti- nuité dans l’univers. La terre a tout dit, tout essayé, lais- sez-moi simplement l’écouter. Ni professeur, ni université ne sauraient l’éclipser.
Salomé Malou